Avec les cinq premiers épisodes, nous avons abordés les fonctionnalités les plus courantes de GIT: les dépôts locaux, les commandes de base, les branches, ainsi que les dépôts distants. Nous allons maintenant décrire des fonctionnalités un peu moins courantes. L’utiisation des sous-modules ne répond qu’à des besoins particuliers, lorsque la taille du projet devient importante, ou tout simplement lorsque l’application développée le nécessite.
Révisions GIT
GIT fait partie de la boîte à outils standard des développeurs. Les différents articles de cette série vont couvrir l’essentiel de cet outil: les concepts, les branches, les dépôts distants. Nous aborderons également la notion de workflow.
J’ai terminé l’article précédent avec quelques questionnements sur la méthodologie. En effet, si gérer son code reste relativement simple pour un développeur isolé, les choses se compliquent un peu dans le cadre d’un travail en équipe. Il s’agit, d’une part, de ne pas perdre de temps dans la gestion des fusions (git merge
), et d’autre part, de ne pas perdre de code, ou de ne pas pousser en production du code buggé. Afin d’éviter les multiples écueils possibles, il existe plusieurs méthodes de travail avec GIT
, que l’on appelle flux de travail (workflow). Je vais vous présenter quelques-unes de ces méthodes.
Les 3 premiers épisodes de notre série, se focalisaient sur les dépôts locaux, dont chaque développeur dispose sur sa machine. Nous allons découvrir maintenant les dépôts centraux / distants (central / remote repositories), comprendre ce que l’on peut en attendre, et voir les quelques commandes supplémentaires qu’il faut connaître.
Après avoir passé en revue les bases de GIT, ainsi que les commandes de base, ce troisième épisode va traiter des branches. Cette fonctionnalité est probablement l’une des plus importante de GIT car, en permettant une « parallélisation » des développements, elles facilitent le travail en équipe.
Dans l’article précédent, nous avons vu les grands principes de GIT, en décrivant les différentes étapes dans l’utilisation de ce produit. Nous allons, dans cet épisode 2, rentrer un peu plus dans le détail, en suivant un flux de développement, et en parcourant les commandes GIT les plus répandues. Nous resterons, pour l’instant, au niveau des dépôts locaux, et dans une branche unique.
Avec des outils comme Hugo, et son écosystème, une bonne connaissance de git devient vite indispensable. Il se trouve que ce sujet est également apparu côté professionnel. J’avais quelques lacunes sur le sujet : j’en ai donc profité pour me remettre à niveau. J’entame une série d’articles sur cet outil, en démarrant par quelques concepts, et un exemple.