Suite du dossier sur la photo panoramique: la recherche du point nodal de mon matériel, et les premiers tests qui ont suivi, m’ont permis d’affiner un peu plus les conseils décrits dans le premier article de cette série. Retour d’expérience sur les premiers essais effectués.
Panoramique
Ma tête panoramique, il me reste à trouver le point nodal de mon matériel, et à passer aux essais. Voici donc les techniques possibles pour effectuer ces réglages.
Je continue mon incursion dans le monde de la photo panoramique. Jusqu’à présent, j’ai parlé de la théorie, et j’ai présenté les outils, il me restait à passer à la pratique. Pour cela, j’envisageais l’utilisation d’une tête panoramique. Après quelques hésitations, j’ai abandonné l’idée de l’achat, et me suis décidé à en construire une.
Grâce aux deux premiers articles sur les photos panoramiques, nous connaissons la théorie de ce type de photos.
Fort de ces nouvelles connaissances, nous pouvons passer à la pratique. Sur un beau paysage, nous appliquons les recettes à la lettre, et l’assemblage se passe à merveille. Au final nous sommes fiers de notre panoramique. Mais voilà, il est tellement large, qu’à l’écran, nous n’obtenons qu’une fine bande, et que pour l’imprimer avec une hauteur raisonnable, il faudrait plusieurs mètres de papier.
Le dernier point que je souhaitais aborder est justement cette notion de format: quel format dois-je adopter, et combien de clichés dois-je prendre pour l’obtenir.
Les technologies numériques ont permis une certaine démocratisation de la photo, en donnant un plus large accès à des techniques jusque là réservées à des professionnels. C’est le cas de la photographie panoramique qui nécessitait auparavant un équipement spécifique et assez coûteux. Aujourd’hui, un compact, et un logiciel d’assemblage (souvent gratuit) suffisent. Mais sous une apparente simplicité, la photo panoramique nécessite de suivre un minimum de règles, que je vous propose de découvrir maintenant.