Voici quelques photos prises lors d’une balade en février dernier, sur l’île Simon, une île située sur la Loire entre les ponts Wilson et Napoléon (à Tours).
Reprise de mes discussions sur la photo au flash. Lorsque nous débutons, nous faisons, en général, deux reproches aux photos prises avec cet accessoire: le premier plan est souvent surexposé, et l’arrière plan quasiment absent (cramé en extérieur, ou bouché en intérieur). Nous allons voir pourquoi nous avons ces défauts, et comment les corriger.
Suite de la visite du parc, commencée il y a deux semaines. Les photos de cette série sont plus rescentes, les plus anciennes datent de 2008, les plus rescentes de Mars 2010.
Je suis de retour de Singapore. Mon séjour s’étant un peu prolongé, j’ai joué au touriste le temps d’un week-end. Au départ n’ayant prévu qu’une seule semaine, et plutôt chargée, je m’étais décidé à voyager léger, en ne prenant que mon compact Panasonic.
En photo, j’ai un faible pour les couchés ou les levés de soleil. Les contrastes de couleur et de luminosité en font souvent des spectacles grandioses. Mais comme pour beaucoup de photographes, ces très forts contrastes me posent beaucoup de problèmes: doit-on exposer pour les basses lumières, les hautes lumières?
Pour contourner ce problème, le numérique offre de très nombreuses possibilités de post-traitement. Au départ, je me suis d’abord intéressé à la technique dont nous parlons naturellement pour ce type de photos: le HDR. Cette technique ne me donnant pas entière satisfaction (manque de naturel), j’ai regardé les autres méthodes possibles. J’en ai trouvé 5. Mais s’appuyer sur le post-traitement pour résoudre ce type de difficultés, est-il réellement la bonne approche?
Il y a des endroits qui ne nous séduisent pas au premier abord, mais auquel nous nous attachons peu à peu. Le parc de la ville ou j’habites, en fait partie. Nous nous sommes tellement promené avec les enfants dans ce parc, que nous en connaissons les moindres recoins. Malgré tout, à chaque fois que j’y vais, je prends mon appareil photo …
Pour un photographe, si les basses lumières sont délicates à gérer, tout n’est pas non plus idéal avec les hautes lumières. En journée, les fortes luminosités constituent parfois des contraintes fortes: impossibilité d’utiliser de trop grandes ouvertures, écrasement des couleurs, …
Nous n’avons pas toujours la possibilité d’attendre que la luminosité diminue, et avons parfois besoin d’allonger les vitesses d’obturation pour obtenir certains effets de filés par exemple. Les filtres gris-neutres sont là pour nous aider.
Grâce aux deux premiers articles sur les photos panoramiques, nous connaissons la théorie de ce type de photos.
Fort de ces nouvelles connaissances, nous pouvons passer à la pratique. Sur un beau paysage, nous appliquons les recettes à la lettre, et l’assemblage se passe à merveille. Au final nous sommes fiers de notre panoramique. Mais voilà, il est tellement large, qu’à l’écran, nous n’obtenons qu’une fine bande, et que pour l’imprimer avec une hauteur raisonnable, il faudrait plusieurs mètres de papier.
Le dernier point que je souhaitais aborder est justement cette notion de format: quel format dois-je adopter, et combien de clichés dois-je prendre pour l’obtenir.